L’an deux mille vingt-trois , le vingt-cinq février à dix heures à eu lieu un café littéraire avec le club RFI jeunesse positive à la bibliothèque de Hêvié, un arrondissement de la commune d’Abomey-Calavi.
Représentants de la jeunesse africaine, au plus proche des réalités de terrain, les Clubs RFI agissent pour le développement de leur communauté autour de micro-projets collaboratifs dans les domaines de la santé, du sport, de l’éducation, de l’égalité des genres, de l’environnement, de l’accès à la culture et à l’information, au nom de la transmission des savoirs et de la solidarité. Le club RFI jeunesse positive de Abomey-calavi est dirigé par Akaï MESSAN.
Le thème retenu était “Récit fictionnel du génocide des Tutsi du Rwanda: enjeu et intérêt pour l’Afrique post-génocide.
✓ Etaient notamment présents :
– David AGBOTON , journaliste de la radio la voix de lama
– Noé Consolas Hounkonou, Coach en éducation des enfants à l’Association Nationale des Conseils des Enfants du Bénin.
✓ Nous avons été touchés par la présence de Monsieur AKOHOU dont l’enfant en classe de terminale a fait la présentation de l’ouvrage. Il était resté du début jusqu’à la fin.
Nous avons débuté la rencontre à 10h par le mot du Représentant de la CÈNE Littéraire au Bénin. Il a tenu à présenter l’association et son travail de promotion de la lecture en Afrique. Il a invité chacun des élèves à prêter une oreille attentive.
À 10h 10 , le Modérateur et qui est en même temps le responsable du Club RFI jeunesse positive a pris la parole pour présenter le livre. Quelques élèves de l’arrondissement étaient préparés à l’avance pour exposer sur les point suivants.
✓ Les personnages : Jessica, Faustin GASSANA, Siméon HABINEZA, Docteur KAREKEZI, le colonel PERIN
✓ Les thèmes : Le génocide, la mort , la haine…
✓ Murambi, site génocidaire : à cette étape , les élèves ont présenté des rapports sur le nombre de personnes tuées.
À 11h , nous avons jugé important de sensibilier les élèves sur le vivre ensemble et les notions essentielles pour éviter ces gens de situations.
En effet, Aucune discrimination n’est insignifiante ou tolérable.
En acceptant une seule discrimination, on se condamne soi-même à en être victime un jour. La rencontre à pris fin à douze heures.